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1h
6 ans

Conditions de tournée

Equipe en tournée
10 personnes :

  • 1 chorégraphe des Comores
  • 7 danseurs des Comores
  • 1 régisseur de France
  • 1 administrateur de tournée de France

Conditions financières
Un devis détaillé vous sera envoyé sur demande, qui tiendra compte du nombre de représentations, du lieu et de la possibilité d’intégrer les dates de représentation dans une tournée nationale.

Vos contacts

Carolyn Occelli
Directrice

Par mail


Fanny Vial
Administratrice

Par mail

Chorégraphie Salim Mzé Hamadi Moissi

Avec Mohamed Abdou, Saila Ali Ahmed, Takia Ali Ahmed Abdallah, Abdel-Kassim Ahmed Athoumani, Salim Mzé Hamadi Moissi, Kamal Mzembaba, Nael Omar

 

Salim Mzé Hamadi Moissi présente sa première pièce longue, Chiromani, après les remarqués Soyons fous, Massiwa et le solo L’Expat.

Chiromani, du nom du tissu traditionnel de coton bicolore très prisé par les femmes des Comores, est un spectacle qui met à l’honneur la femme comorienne dont l’identité s’est construite à partir des cultures africaines bantoues et musulmanes apparues au XVIe siècle, puis par la rencontre avec l’Occident au XIXe siècle notamment lors de la colonisation française.
Si l’archipel se fait discret sur la carte du monde, la femme comorienne, elle, évolue dans une société matriarcale. Mais les temps changent, les repères aussi. Le monde s’ouvre et se globalise et les Comores n’y échappent pas. Chiromani s’amuse de ces contradictions et propose
un métissage des danses féminines et masculines qui rythment les temps forts de la vie aux Comores comme le deba, le tari, le mdiridji et un langage hip-hop contemporain. C’est cette hybridation qui est au cœur du langage chorégraphique de Salim Mzé Hamadi Moissi et qui se renouvelle ici en confrontant des danseuses et des danseurs comoriens.

Chorégraphie Salim Mzé Hamadi Moissi

Avec 7 danseurs comoriens

Salim Mzé Hamadi Moissi représente la nouvelle génération de danseurs et chorégraphes
contemporains à influence hip hop qui émerge du continent africain.

Après un parcours d’interprète avec le chorégraphe gabonais
Arnaud Ndoumba (2010) et le chorégraphe français Anthony Egéa pour la pièce Rage (2012), il décide de retourner vivre aux Comores. Il crée la Compagnie Tché-Za et le festival biannuel Ntso Uziné à Moroni avec l’objectif de développer et de professionnaliser la
danse. Il crée quatre pièces : Wutama hip hop, Kreuz, Mon mur et Soyons fous qui est présentée pour la première fois en France en 2019 au festival Suresnes cités danse, et reprise à l’Institut du Monde arabe en mars 2019. Lors de la 28e édition du festival Suresnes cités danse, il crée en janvier 2020 Massiwa, une pièce avec 7 danseurs comoriens.
En mai 2021, i l crée et inaugure la première école
de danse professionnelle aux Comores.

Commande et production Théâtre de Suresnes Jean Vilar/ festival Suresnes cités danse 2023.
Avec le soutien de Cités danse connexions. En collaboration
avec la Compagnie Tché-Za (Comores).