Salle Jean Vilar
1h30
Dès 12 ans
Création

D’après Jean Giono

Mise en scène Jean-Baptiste Sastre

De destinées tragiques renaît, grâce à l’amour, l’espoir de lendemains qui chantent et de terres fertiles. Giono dépeint avec un lyrisme remarquable la nature belle et impitoyable d’une Provence battue par les vents et désertée par les hommes.
Dans un petit village perdu ne restent que trois habitants : un vieux charron, une Piémontaise un peu magique et un
généreux paysan qui vivote depuis la mort de sa mère. La vie est rude sur ces terres délaissées où la solitude menace de rendre fou. Mais si la nature peut être hostile et rugueuse, elle sait aussi être généreuse et féconde. Le printemps arrive, réveille les plantes mais aussi l’instinct de vie et l’harmonie.

Jean-Baptiste Sastre adapte la langue poétique et sensorielle de Giono. Confiant le texte à des jeunes gens, il donne à entendre l’espoir lumineux de ce conte réaliste et rural.

D’après Jean Giono

Mise en scène Jean-Baptiste Sastre

Distribution en cours

Lumières Dominique Borrini

Costumes Trico’dons 

Après des études au Conservatoire national supérieur d’Art dramatique de Paris, Jean-Baptiste Sastre signe en 1995 sa première mise en scène, Histoire vécue du roi Toto, d’après l’œuvre d’Antonin Artaud. Il montera par la suite des textes de Genet, Duras, Marlowe, Büchner, Marivaux, Labiche ou Coleridge. Son travail de metteur en scène ne consiste pas seulement à assurer la direction d’acteurs, mais aussi à créer avec ceux qui l’accompagnent, et plus particulièrement les poètes et les plasticiens dont il s’entoure, une esthétique propre à chaque spectacle. À partir de 2005, Jean-Baptiste Sastre, alors lauréat de la Villa Médicis hors les murs à Londres, débute un travail sur le théâtre élisabéthain et tout particulièrement sur La Tragédie du roi Richard II, présentée en 2010 dans la Cour d’honneur, pour sa première participation au Festival d’Avignon. En 2018, il met en scène La France contre les Robots de Georges Bernanos.

Production Théâtre de Suresnes Jean Vilar.